La Mandrette dans le blog de Yooda

L'interview de Laurent Peyrat dans le blog de Yooda

Laurent a décrit son parcours impressionnant dans le domaine du SEO. Formé en 2001 par l’un des tout premiers référenceurs français, il a rapidement été initié aux subtilités de Google, au Pagerank et à l’optimisation « on site ». Au-delà de ces compétences techniques, il a également appris comment devenir éditeur pour Dmoz.

Au fil du temps, il s’est interrogé sur la nature du spam dans le domaine du SEO. Depuis cette initiation, il a embrassé une multitude de rôles dans le domaine du référencement. Il a été référenceur interne, éditeur de ses propres sites monétisés via Adsense et l’affiliation, e-commerçant, et, depuis 2009, il exerce en tant que consultant.

Dans son rôle de consultant en e-commerce et webmarketing, Laurent est principalement investi dans l’accompagnement de ses clients pour leurs divers projets, qu’il s’agisse de SEO ou de webmarketing plus large. Outre son activité de consultant, il est également formateur. Il partage son expertise en enseignant à Sciences Po Toulouse et à l’ECS Toulouse.

Le texte de l’interview

Bonjour Laurent. Peux-tu nous décrire ton parcours dans le SEO ?

J’ai été formé en 2001 par un des tous premiers référenceurs français, qui n’exerce plus. Deux jours pour me faire découvrir Google, le Pagerank et l’optimisation « on site ». Par la suite, il m’a expliqué comment devenir éditeur Dmoz. Nous nous sommes demandés si la mère de toutes les farm-links françaises, Populiens, c’était du spam ou pas. Depuis, j’ai porté un peu toutes les casquettes du référenceur (sauf celle de chef de projet en agence) : référenceur in-house, éditeur de mes propres sites monétisés par Adsense et l’affiliation, e-commerçant, enfin consultant depuis 2009.

Parle-nous de ton activité de consultant SEO/webmarketing

J’exerce en tant que consultant e-commerce et webmarketing. Le principal de mon temps, c’est l’accompagnement des projets clients, en SEO ou plus généralement en webmarketing. Je fais aussi de la formation. Enfin, j’enseigne à Sciences Po Toulouse et à l’ECS Toulouse.

Quel est ton super-pouvoir ?

Je vis sans smartphone. Balèze, non ?

Qu’il y a-t-il de spécifique dans le SEO de ton activité ?

Probablement le rapport à la clientèle. En tant que conseil, je me place résolument côté client, ce qui donne d’immenses ouvertures en matière de popularisation d’un site web par exemple. J’ai l’impression qu’on obtient de meilleurs performances en donnant une couleur SEO aux opérations de communication/marketing du client qu’en tentant de générer du linking avec les méthodes habituelles du référenceur.

Ca marche aussi pour le on-site : je crois plus pertinent de partir des cibles et de l’activité de l’entreprise plutôt que d’essayer de faire à tout prix rentrer un site web dans un listing de mots-clés pour générer et optimiser des pages. Ca fait aussi moins artificiel, c’est moins risqué. Enfin, on est plus légitime et on arrive à durer plus longtemps au top des requêtes concurrentielles.

Quelle est la question SEO que tu te poses actuellement ?

La même question depuis 12 ans : comment ranker durablement sur du lourd ?

Pourquoi as-tu choisi d’utiliser les outils Yooda ?

Eh bien, je n’utilise pas Yooda moi-même. En effet, je trouve que ce n’est pas au prestataire de mesurer sa performance. J’encourage plutôt mes clients à prendre le logiciel, à se former dessus et à générer eux-mêmes leurs rapports. Cela les rend moins dépendants des référenceurs extérieurs. Mais oui, je les aiguille de préférence vers Yooda. Ca fait dix ans que je côtoie et échange avec l’équipe, l’outil fonctionne nickel, je peux répondre aux questions de base des clients, bref, c’est bien adapté au fonctionnement que je mets en place.

Peux-tu citer une fonctionnalité que tu apprécies particulièrement dans SeeUrank ?

L’écoute et la patience, ça compte dans les fonctionnalités ? 😉 Blague à part, mes clients sont toujours extrêmement bien reçus chez vous, c’est primordial pour que je recommande un prestataire !